mardi 29 mai 2012

C'est quoi le thème ?


L'approche des examens oblige, j'ai ressorti un article datant du mois dernier que j'avais publié sur Facebook. Enjoy.

Aucun bruit. Stylo à la main. 3,2,1...partez ! Ca t'es jamais arrivé, durant ta scolarité, ce moment de flottement, pendant un devoir surveillé, un examen blanc, un ou un examen tout court ?

Donc, t'es là, assis au fond de la classe, ou au premier rang, on s'en fout en fait, prêt à remplir ta copie fraîchement préparée à la distribution des sujets. "On a déjà vu ça ?" te dis-tu après une première lecture. T'étais pourtant sûr de connaître le sujet sur le bout des doigts. Dommage. Putain manque de chance, c'est pas des maths, tu pourras pas tuer le temps sur des "jeux" déjà dépassés il y a 10 ans.

Tu tournes les pages du sujet, c'est sûrement ce qui te prendras le plus de temps pendant ces...et merde, 4 heures à glander. Dans un élan de courage et après avoir usé tous tes brouillons à coup de tags et d'origamis foireux (origami, dit comme ça, ça fait quand même plus classe que "avion en papier"), tu lâches un "pffff" qui vient briser ce calme plat. Ce genre de "pfff" qui a le dont d'énerver le type qui te surveille, avachi sur son bureau à fixer la bande d'incapable qui lui fait face. "Payé à rien foutre", CQFD. 

Alors, tu cherches des jeux pouvant te divertir. Bordel, à part fixer la petite aiguille courir au ralentit sur un cadran, tu n'as rien à faire. Mais oh ! Ca sonne. Allez plus que 3 heures. Tu lèves alors la tête, à la recherche d'un regard de compassion, ou de solidarité de la part d'un camarade. Mais non. Même tes potes, pourtant pas fans de Molière grattent lignes sur lignes.



Plan B. Tu relis le sujet, peut-être que ça viendra tout seul. Rêves. Tant pis, tu cherches à tricher. Ton voisin écris mal, c'est illisible. Ton sac est trop loin. Ton portable est trop vieux pour aller sur le net (Ah, les 3310), fuck, ça vient pas. C'est précisément à ce moment que tu deviens un philosophe, un pur et dur "Et puis d'abord, à quoi ça sert les notes ?". Tu attends, tout en cherchant la réponse. Tiens, plus que 2 heures.

Foutu pour foutu, autant récupérer de ta courte nuit, celle durant laquelle tu as révisé un truc qui n'a rien à voir avec ton sujet. Une petite sieste s'impose, tu adoptes une position "je m'enfoutiste" et sombre dans les bras de Morphé. Mais, c'est à ce moment précis que ce putain de Régis décide d'attraper une quinte de toux monstrueuse, le genre à déclencher une avalanche, à la montagne...En été. La sieste, ce sera pour plus tard. Tu tentes un "Qu'est-ce qu'on s'emmerde.", mais à peine le temps de finir ta phrase que tu te prends un "Taisez vous !" ah oui, le type payé à rien foutre est aussi payé pour gueuler. Tu l'aurais presque oublié.

Last hour ! Ta copie est toujours blanche, mais tu te sens un peu plus près de la liberté. Et puis merde, tu places un "voir cours", sur un malentendu, ça peut passer. Tu as passé le cap du "si j'avais su, j'aurai pas venu." et c'est avec une certaine fierté que tu places ta copie sur un coin de ta table, tout en fermant ta trousse, provoquant un sentiment terrible de peur chez J-C (Jean-Charles, ignare) qui se dit que l'épreuve touche à sa fin et qu'il ne pourra pas finir sa 3e copie. Flûte.

La 4e sonnerie sonne comme la délivrance. Le 14 juillet, le nouvel an, la coupe du Monde en 98, tout ça à côté, c'est rien. T'es le premier sorti, pourtant, t'étais dans le fond. "Lui, c'est un branleur." Oups.

Il faut sauver la Princesse Zelda !


Zelda, c'est quand même un sacré univers. Ocarina, Triforce, épée, quêtes, donjons etc. et même si la Princesse se fait kidnapper quasi systématiquement, à l'image d'une certaine Peach dont nous parlerons peut-être plus tard, la plupart des Zelda sont magiques. 
Le premier opus sort en 1986 sur NES, le terrible grand méchant tout pas beau Ganon kidnappe Peach...hum Zelda pardon et l'emprisonne (oh le méchant). S'en suit une quête chevaleresque pour retrouver la belle. (Comment ça c'est la même chose à chaque fois ?)
Non sérieusement...J'étais même pas né quand il est sorti. Puis même si les Zelda sont d'excellents jeux, j'ai jamais eu le courage d'en finir un de A à Z. Flemme quand tu nous tiens.
Bon, j'étais quand même arrivé assez loin sur les jeux versions GBC (Zelda Oracle of Seasons et Oracle of Age) pour pouvoir dire qu'ils sont pas mal, tout comme Link's Awakening, un peu plus vieux. Shigeru Miyamoto, le créateur du bonhomme au chapeau vert (et accessoirement du plombier) a su créer un univers à part et qui dure encore et encore depuis plus de 25 ans. Un exploit.



Mais pas un exploit aussi immense que d'écrire un semblant d'article sur Zelda sans parler des deux versions sorties sur Nintendo 64. Et pourtant, ce n'est pas pour tout de suite !

J'me présente, je m'appelle Henr...euh...

Commençons par le commencement. Ce blog n'a rien de sectaire, cependant vous pouvez m'appelez Dieu ou Jordan, mais ça revient au même. Lycéen pour encore trois semaines...ou un an et trois semaines, si le bac m'échappe, mes passions sont multiples et variées (j'ai aussi un don pour baratiner et brasser du vent). Mon avenir est aussi flou que la vue de René (la taupe, ben oui...) et je m'en soucis autant qu'un reportage sur Arte à 3h du mat'. 

Génération Y oblige, je manie les réseaux sociaux à la perfection. J'ai cependant un petit faible pour les jeux vidéos vintage. Grâce à ce blog, j'arrêterai de polluer la TL de mes amis et j'aurai peut-être même des commentaires de rageux. Le rêve.

Voila, tout est dit. Bisous.